weeknotes

Une semaine de vacances, de vadrouille et de rage sur internet.

Une semaine mélangeant travail et congés. Je suis parti en vadrouille dans la foulée de ce qui fait que ce billet est à la fois succinct et décousu. Je reprendrai quelques fils ouverts la semaine suivante.

Il y a des films qui vous transforment. Je ne sais pas si je me souviendrais de Past Lives dans quelques temps mais ce film aura bien retourné ma semaine. Je me rends compte en écrivant ce billet hebdomadaire.

Une autre semaine remplie de la banalité absurde de notre système social. Le Guin dit que l’important ce n’est pas de vivre de choses spectaculaires pour avoir quelque chose à raconter, mais simplement de cultiver sa vie intérieure. Ou quelque chose comme ça. Ces textes assez personnels s’inscrivent dans cette démarche de documenter notre époque depuis l’intérieur. Je vois aussi l'exercice comme une newsletter qui ne passe pas par l’email.

Une semaine assez banale. Il y a toujours quelque chose à raconter et je prends du plaisir à écrire ces notes. Si vous voulez quelques nouvelles, c’est par ici.

Semaine assez anodine, mais quelque part assez pleine aussi. Wholesome comme c’est parfois écrit. J’en garde quelques traces dans cette note rapide.

Cette semaine, c’était la vraie reprise cependant, j’ai un nouveau clavier avec une nouvelle disposition ce qui introduit de la friction et me fait écrire moins vite. Comment ça elle est nulle mon excuse pour publier cette note en retard ? Promis, je ne parlerai pas de clavier (mais de fenêtres oui).

Mi-vacances, mi-travail, mi-week-end. Cette semaine, c’était le choc entre tradition et modernité. J’espère que l’année ne sera pas à son image. Je (me) la raconte rapidement dans ce court texte.

Semaine calme et sans travail. Privé de lecture, j'ai surtout tenté quelques jeux vidéos qui ne demandaient pas trop d'investissement. Casu, casu quoi.

Petite semaine pas très fatigante, mais bien fatiguée. Ceci est son histoire. TU-DUM.